Dans la plaine, deux hommes face à face, l'un couvert de haillons qui semblent pillés çà et là, l'autre degage une aura d'assurance, de sauvagerie et aussi de tristesse.
De son dos dépasse le manche poli par l'usage d'une hache au proportions gigantesque et une épee tout aussi impressionnante pendait à sa ceinture.
Le brigant l'interpelle : Eh toi! La bourse ou la vie!
-Je choisis les deux répond le barbare
-Alors tu vas mourir!
Ce furent les derniers mots du bandit, la derniere chose qu'il vit furent es levres de l'homme se mouvoir en un murmure imperceptible suivi d'une mise en mouvement instantanée dégainant a une vitesse folle sa hache... comment pouvait il tenir une chose pareille d'une seule main, en effet un homme normal aurait peiner a soulever la hache du barbare a deux main!
Déjà la hache amorçait un revers mortel vers la gorge du bandit qui par un réflexe aiguisé par la terreur avait levé son épée, frele obstacle qui se brisa sans ralentir l'instrument de mort. Tandis qu'une tete volait au loin, le barbare rengainait.
S'approchant du cadavre il répéta les mots qu'il avait soufflés dans un murmure avec une tristesse infinie :
-L'homme est indigne et misérable. Il ne mérite ni la pitié ni la confiance...
Seule les machines sont fiables, elles ne trahissent jamais
Au loin le fracas d'une armée de golems suivant leur maitre retentit
Le barbare se remet en route, son périple en Kalamai est bientot terminé.
Il retourne vers sa seule patrie...Ses seuls amis.. Les seuls en qui il croyait... Son destin l'attendait...
Les Citoyens se reunissaient....